Secondo un’indagine realizzata dalla francese Chambre syndicale des courtiers d’assurances (CSCA) a cui hanno risposto C’est la première fois qu’autant de courtiers, soit 516 sociétés de courtage , répondaient à une enquête menée par la Chambre syndicale des courtiers d’assurances (CSCA) divulguée lors du congrès national des courtiers d’assurances , organisé le 31 mai et le 1er juin. 80% d’entre eux pratiquent d’ailleurs le courtage comme activité principale. Autre chiffre fort de cette enquête : alors que la chambre cherche à augmenter son nombre d’adhérents, 77% des répondants n’étaient pas syndiqués au moment du lancement de l’enquête. Plus de services et de proximité L’étude de la CSCA insiste également sur les services attendus par les adhérents et les non-syndiqués. À l’heure où la pression réglementaire est de plus en plus palpable, les courtiers sont clairement demandeurs d’une préparation plus poussée aux contrôles de l’Autorité de contrôle prudentiel ( ACP ) et d’une assistance lors de ces contrôles. Autre point d’attente : la plateforme EDI courtage 2.0 qui devrait, selon le président réélu, Dominique Sizes , très vite monter en puissance. Enfin, les courtiers interrogés demandent à un syndicat professionnel, tel que la CSCA, de la proximité , une expertise ou encore une meilleure accessibilité aux informations, notamment réglementaires […]

516 società di brokeraggio (l’80% di essi ha dichiarato di svolgere il brokeraggio come attività principale), i broker, tra le altre cose, chiedono maggiore preparazione ai controlli dell’ACP, l’autorità di vigilanza del settore. Molto richiesta inoltre al loro sindacato (la CSCA) una migliore accessibilità alle informazioni, soprattutto relative ai regolamenti.

La preoccupazione principale del 20% dei broker è comunque il controllo da parte dell’ACP.

In occasione del congresso annuale della CSCA è stato dunque invitato un responsabile dell’Authority, che è stato a disposizione per rispondere alle domande dei partecipanti.

Pauline de Chatillon, inviato della ACP ha cercato di rassicurare i broker, confermando che il broker viene informato per iscritto di una visita ispettiva e con un termine ragionevole di anticipo. Ha precisato anche che è possibile il dialogo al momento del controllo: tra la consegna del progetto di rapporto e le conclusioni definitive, il broker può rispondere all’autorità di controllo.